L N P
Rock alternatif/punk boite à rythme au chant mixte, D.I.Y, formé en 2012 sans prétentions ni compromis. Aux accents Occitans, de Mons/Valenciennes.
Sab : chant Mullet : guitare/chant.
Garants de l’agitation par le bruit comme ultime distraction turbulente !!!
Prestas autogérées sans sabam/sacem, à caractère brut de décoffrage et ré-cré-actif !!!
C’est à Teteghem (59) un samedi de février 2012 sous l’impulsion de Domi Ouate que lors d’une répétition prévue en one man band Sab attrape le micro pour partager le chant avec Mullet et sa guitare. Quelques compos et mois plus tard arrivent les 1ers concerts ainsi que le 1er album « rage de raison », Les Nenfants Perdus étaient nés. De là les dates de concerts s’enchaineront régulièrement avec un répertoire perso très souvent remis à jour, les 4 premières années principalement dans les bars associatifs, squatts, festivals autogérés des régions Wallonie/Bruxelles/Nord France s’exportant peu à peu vers plus de régions parsemées dans l’hexagone. En 2014, Mad Sugar avec son saxo partage un bout de route avec le duo énergique et bout en train à l’occasion de quelques dates, à ce moment là parait en numérique la démo 7 titres « Après nous… les mouches !!! » sur lequel il posera le saxe sur quelques titres avant de repasser en duo pour LNP. 2016, autour d’une scène locale fiévreuse, de fermetures de lieux en cascade sort l’album « La messe est dite ! » au format CD 1er pressage en autoprod, cet skeud mieux pris en charge grâce à l’apport de moyens plus « pro » plutôt bien accueilli et diffusé via le réseau alternatif marquera une évolution dans les sonorités recherchées plutôt esprit 80. 2017 les fermetures de lieux tombent en cascade sous l’impulsion de lois anti-squatts notamment et déjà de couvres feux imposés dans les bars-concerts sous prétextes de nuisances sonores, LNP ne jouera qu’une poignée de dates jusqu’en 2020, chacune d’entre elles empreintes d’adrénaline partagée et de bonnes surprises qui tiendront le doute à l’écart du projo avant d’en arriver à la pandémie de coronavirus présageant une année 2021 avec flou persistant concernant un « retour à la normale » autour des concerts et de la contre culture en particulier avec comme questionnement que restera t-il encore après ??? Raz de marrée ou des cendres ? Dans une atmosphère ambiante morose, pesante, causant d’énormes dégâts qui touchent la santé mentale des populations découlant de confinements prolongés, de privations de libertés individuelles fondamentales abreuvés de non sens intégral, après les graves soucis de santé qui ont touché Sab en mai/juin, LNP n’a pas dit son dernier mot bien au contraire et 11 voire 12 nouvelles compos sont parées pour enregistrement fin mars. Plus d’infos à venir !!!
Autour de LNP se crée Contestarock en 2013, collectif qui organise des concerts à prix libre dans des bars associatifs, granges, petites salles des 2 cotés de la frontière entre Mons, Tournai, Valenciennes. Les 3 premières années furent très enrichissantes en expériences et en rapports humains pour arriver à proposer des orgas en faisant avec ce qu’il y a sous la main, plutôt une clé à molette collective comme outil et sans filet plutôt que du poignon, des subsides ou des sponsors… sans contrats paperaces, avec des lieux, des groupes et des volontaires qui mettent tout en commun pour que le principe des vases communicants fonctionne et que chacun des intervenants s’y retrouve, L’athmosphère surchauffée avec un public responsable qui vient pour en découdre avec les décibels forgeront la marque de fabrique incontestable. En 2016 Contestarock s’éclipse de par la fermeture de ses lieux principaux, reprend en 2019 mieux parés avec bien plus de bras pour poursuivre l’aventure au rythme ou ça lui chante car la devise restera « Au nombre on ne privilégiera pas le chiffre « .
PAS DE RACISME ! PAS DE CAPITALISME ! PAS DE FACHOS ! PAS DE SEXISME !